Contrôle de gestion - Niveau 1

Décryptage des objectifs de la formation « Contrôle de gestion – Niveau 1 » d’EFE, de l’importance de se former en contrôle de gestion et des compétences clés à maîtriser pour devenir un professionnel compétent.

Les objectifs de la formation en contrôle de gestion d’EFE

La formation en contrôle de gestion proposée par le centre de formation EFE a pour but de permettre aux participants d’acquérir toutes les compétences clés nécessaires pour utiliser le contrôle de gestion.

Afin d’y parvenir, le programme de la formation en contrôle de gestion se concentre sur l’atteinte de trois objectifs principaux :

• Se familiariser avec le contrôle de gestion et définir ses enjeux pour l’entreprise,
• Découvrir les principaux indicateurs de performance et savoir élaborer ses tableaux de bord,
• Apprendre à construire et défendre son budget et à réaliser le contrôle budgétaire.

Cette formation d’initiation s’adresse à tout professionnel qui est impliqué dans la mesure de la performance de son entreprise. Il peut s’agir, par exemple, de responsables comptables, de contrôleurs de gestion débutants ou encore d’ingénieurs commerciaux.

Pourquoi est-il indispensable de suivre une formation en contrôle de gestion ?

Le contrôle de gestion est une discipline essentielle en entreprise qui permet d’analyser, produire et restituer l’information économique et financière. Afin de le pratiquer efficacement, il est indispensable de suivre une formation sur le contrôle de gestion.

La formation d’EFE propose un programme riche et complet qui permet aux participants d'être à l'aise sur l’ensemble des outils et des méthodes clés nécessaires à la pratique de la discipline.

De la définition de la discipline et de ses enjeux à la mesure de la performance opérationnelle à l’aide d’un tableau de bord, en passant par l’amélioration de son contrôle financier, la formation en contrôle de gestion aborde tous les principes essentiels à gérer pour devenir un contrôleur de gestion compétent.

Maîtriser les outils et méthodes de base du métier

Difficile d'être un bon pilote sans boussole fiable. C'est pourquoi tout contrôleur de gestion doit d'abord se forger une culture financière et économique solide, notamment en suivant une formation en contrôle de gestion. 

Sur ce point, il y a plusieurs éléments incontournables :

• Les concepts clés de la comptabilité analytique : coûts variables/fixes, direct/indirect, centre de profit,
• Les principes de construction budgétaire : cycle OVAR, négociation managériale, consolidation des données,
• Les fondamentaux de l'analyse financière : SIG, ratios de rentabilité/productivité, BFR, seuil de rentabilité,
• Les règles de choix d'investissement : actualisation des flux de trésorerie, coût du capital, risque.

L’ensemble de ces éléments constitue la boîte à outils de base du contrôleur de gestion. Celle-ci se révèle indispensable afin de disséquer la performance économique de son entreprise. La formation en contrôle de gestion permet aux apprenants de se familiariser avec ces différents éléments de base en entreprise.

Acquérir une vision globale de l'entreprise

Souvent focalisé sur les chiffres, le contrôleur de gestion doit néanmoins développer une vision stratégique. Cette hauteur de vue est nécessaire pour challenger les opérationnels et apporter des éclairages pertinents.

 Cela implique de :

• Comprendre le business model et la chaîne de valeur de son entreprise,
• Identifier les facteurs clés de succès et les risques associés,
• Suivre les tendances et ruptures du marché,
• Dialoguer avec les fonctions clés (marketing, commercial, R&D, production).

La formation permet aux apprenants de développer cette vision stratégique essentielle à la prise de décisions éclairées et à l’amélioration des performances de l’entreprise.

Développer des compétences relationnelles

Encore une fois, le métier de contrôleur n'est pas qu'une affaire de technique. C'est un métier avec une dimension importante de communication et de pédagogie. En plus de la connaissance « pure », des qualités « soft » sont de plus en plus attendues. Il faut les cultiver dès la formation initiale. 

Au quotidien, cela suppose de :

• Expliquer les enjeux financiers avec des mots simples,
• Synthétiser l'information sans la dénaturer,
• Adapter ses reportings à telle situation ou à tels interlocuteurs,
• Emporter l'adhésion des équipes aux plans d'actions.

La formation en contrôle de gestion proposée par EFE comprend plusieurs modules qui sont dédiés au développement des compétences relationnelles des participants. Ils apprennent, notamment, à mettre en place la collaboration entre le département fiscal et les opérationnels et à traduire l’information opérationnelle des services en données chiffrées.

Intégrer les évolutions du métier

Ces derniers mois, il y a un enseignement clair, à savoir que le métier est loin d'être figé. En effet, il a fortement changé avec plusieurs tendances de fond :

• Digitalisation des processus et des outils (ERP, BI, cloud…),
• Développement de l'analyse prédictive et du reporting en temps réel,
• Raccourcissement des cycles de prévision (rolling forecast…),
• Responsabilisation croissante des managers (beyond budgeting…).

Cela fait beaucoup de disruptions en peu de temps. Dans les PME et les grands groupes, ces outils bousculent très régulièrement les pratiques établies et appellent de nouvelles compétences.

Le mot d'ordre est clair : le bon contrôleur n'est plus un simple producteur de chiffres. C'est un véritable business partner. Il est capable d'éclairer la décision à tous les niveaux. Un changement de posture qui ne s'improvise pas et gagne à être anticipé dès le cursus initial en suivant une formation en contrôle de gestion qui intègre véritablement les évolutions du métier, telle que la formation « Contrôle de gestion - Niveau 1 » proposée par EFE qui mise sur une approche résolument opérationnelle.

L’objectif est de faire la différence sur le terrain et dans la durée.

Les 5 compétences clés d'une formation en contrôle de gestion réussie

Une formation en contrôle de gestion efficace doit couvrir cinq champs de compétences qui se complètent entre eux. Passons en revue ces incontournables qu’il faut maîtriser afin d’optimiser son profil et son apport.

Construction et suivi budgétaire

Le processus budgétaire est le socle de tout dispositif de contrôle. Il doit faire l'objet d'une attention particulière. Voici les points clés à retenir :

• Méthodologie d'élaboration : cadrage macro, déclinaison opérationnelle, consolidation,
• Technique de négociation : définition d'objectifs SMART, contractualisation, poursuitedes engagements,
• Analyse des écarts : calcul et interprétation (volume, prix, mix, change…), identification des causes.

L’objectif ici est de bâtir des budgets à la fois ambitieux et réalistes qui sont alignés au maximum sur la stratégie de l’entreprise. Une formation réussie doit permettre aux apprenants de développer toutes les notions théoriques nécessaires à la construction et au suivi budgétaire. Celle-ci doit également intégrer des exercices d’application qui permettent de mettre en pratique ces nouveaux acquis.

Conception de tableaux de bord

Les tableaux de bord donnent aux managers une vision synthétique et actionnable de leur activité. Une bonne formation doit permettre aux apprenants d’acquérir les compétences essentielles pour la construction de ces outils de pilotage, à savoir :

• Sélection des KPI pertinents par métier (finance, commerce, production, RH…),
• Structuration des données : répartition par nature, centre de responsabilité,
• Choix des visualisations : graphiques, tableaux, cartes, pictogrammes.

Le contrôleur de gestion peut aujourd’hui compter largement sur les outils de reporting automatisés. L'enjeu est donc de fournir le bon niveau d'information au bon interlocuteur pour éclairer la prise de décision.

Évaluation des investissements

Les ressources se « raréfient » (budget, temps…), les choix d'investissement sont plus que jamais stratégiques. Le contrôleur de gestion doit apporter des moyens de validation quant à ces choix :

• Les méthodes de calcul de rentabilité : VAN, TRI, délai de retour,
• La prise en compte du risque : actualisation des flux, analyses de sensibilité,
• Les leviers d'optimisation : valeur résiduelle, subventions, impacts fiscaux.

C’est surtout sur ce dernier point qu’il se distingue des consultants externes. Ses éclairages donnent les arguments aux arbitrages réalisés par l’entreprise, il est ainsi absolument nécessaire qu’une formation en contrôle de gestion aborde ces différents moyens de validation.

Modélisation des coûts

Autre levier clé de compétitivité que l’on ne présente plus : la maîtrise des coûts de revient et des marges. Pour le contrôleur de gestion, peser sur ce levier implique de savoir :

• Configurer un modèle pertinent : sections homogènes, inducteurs de coût, refacturation,
• Calculer des coûts fiables : matières, main d'œuvre, frais généraux, coût d'achat/de production,
• Exploiter les résultats : analyse de rentabilité par produit, par client.

Une formation en contrôle de gestion réussie doit permettre aux apprenants d’acquérir ces compétences clés de la maîtrise des coûts de revient et des marges.

Communication financière

Ultime maillon de la chaîne et expertise indispensable d’une formation en contrôle de gestion réussie : la restitution des résultats aux parties prenantes internes et externes. Plusieurs savoir-faire sont indispensables :

• Rédaction de rapports financiers : liasse fiscale, annexes, rapport annuel ;
• Préparation des communications orales : comité de direction, conseil d'administration, assemblée générale ;
• Élaboration de guidances et éléments de langage pour les analystes et investisseurs.

Au final, c'est bien la combinaison de ces cinq blocs de compétences qui va permettre au professionnel de faire la différence sur le terrain. Il est ainsi indispensable de choisir une formation de qualité qui intègre ces cinq compétences afin de commencer sa carrière dans les meilleures conditions.

Les possibilités d’évolution de carrière après une formation en contrôle de gestion

Maintenant que les fondamentaux sont posés, une réflexion complémentaire nous amène aux évolutions possibles du métier. Car le contrôle de gestion n'est pas un parcours à sens unique. De nombreuses passerelles vers d'autres fonctions financières existent après une formation en contrôle de gestion, pour peu qu'on s'en donne les moyens.

De la comptabilité analytique au contrôle financier

Premier prolongement naturel après la formation : un emploi dans le contrôle financier. En plus du suivi budgétaire, ce type d'emploi intègre des dimensions comme :

• L'analyse financière approfondie (rentabilité, solvabilité, risques) ;
• La consolidation des comptes (normes IFRS, réconciliation des données) ;
• La gestion de la trésorerie (cash-flow, BFR, placements…).

Ce sont des compétences pointues qui ouvrent la voie à des postes de manager financier, voire de directeur administratif et financier. Un parcours professionnel assez classique et accessible à la suite d’une formation en contrôle de gestion, souvent observé dans les PME.

De la gestion prévisionnelle à la direction stratégique

Autre montée en puissance possible après cette formation : une évolution vers une sphère supérieure avec des fonctions dans la stratégie et le développement de l'activité. Les contrôleurs de gestion les plus aguerris peuvent y valoriser :

• Leur capacité à modéliser des business plans complexes,
• Leur maîtrise des enjeux financiers des projets de croissance (fusion-acquisition, levée de fonds),
• Leur aptitude à challenger la viabilité économique des orientations proposées.

L'expérience dans l'analyse de détails et la capacité d'abstraction du contrôleur de gestion lui donnent de sérieux arguments pour des postes de directeur stratégie, directeur du développement… et pourquoi pas directeur général. 

Bien que suivre une formation en contrôle de gestion constitue une excellente porte d’entrée pour accéder à ses fonctions, il est nécessaire de disposer de plusieurs années d’expérience dans le domaine pour convaincre les employeurs.

Du reporting à la communication financière

Ultime passerelle, mais peut-être la plus confidentielle : une évolution vers la communication financière. Les professionnels ayant réalisé une formation en contrôle de gestion et rodés au reporting réglementaire peuvent faire valoir :

• Leur rigueur dans la production des états budgétaires,
• Leur sens de la pédagogie pour vulgariser des concepts techniques,
• Leur aisance dans les présentations orales face aux investisseurs.

Il y a, en effet, des atouts pour évoluer vers des postes de responsable des relations investisseurs, directeur comptable… voire directeur financier dans des groupes cotés. Une voie intéressante pour ceux qui allient expertise et sens du contact.

Bien sûr, ces évolutions ne se feront pas du jour au lendemain. Elles supposent de cultiver sa polyvalence d'année en année et d'entretenir son employabilité par une veille régulière sur les nouveaux enjeux du métier. Un exemple ? La formation « Contrôle de gestion – niveau 1 » d’EFE, qui pose en 2 jours les bases essentielles à maîtriser, des outils classiques aux pratiques émergentes. Un certificat pour faire le point et se projeter.

Apprenez à mesurer la performance de l’entreprise avec notre formation

Plus que jamais, le contrôle de gestion est un métier d'avenir. Il est incontournable, car au croisement de la finance, de la stratégie et de la data. Mais pour tirer son épingle du jeu, il vaut mieux ne pas se louper sur les fondamentaux ! Par fondamentaux, on citera la maîtrise des outils, la vision globale ou les aptitudes relationnelles. Le package peut sembler ambitieux pour un débutant.

C'est justement tout l'enjeu d'une formation exigeante centrée sur l'acquisition de compétences concrètes et directement transférables. Le genre de pari gagnant que propose la formation « Contrôle de gestion – niveau 1 » d’EFE, véritable concentré d'expertise au service de votre évolution professionnelle.

Contactez dès à présent l’équipe pédagogique du centre de formation EFE afin de vous inscrire à la formation en contrôle de gestion et de maîtriser les fondamentaux de cette pratique essentielle pour les entreprises.